Premier d̩fi Рseule chez soi

Bonjour,

 

Je suis une jeune femme de 22 ans et je voudrais un premier défi à faire « seule » chez moi. Je vis en colocation avec deux autres nanas , donc j’aimerais être discrète. Je n’ai pas de sextoy mais tout ce qu’on peut trouver dans un maison.

J’ai du vis-à-vis et ne souhaite pas d’hexib, d’uro, scato.

 

Je suis ouverte à vos propositions ♥

Premier d̩fi Рseule chez soi
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61 thoughts on “Premier défi – seule chez soi

  1. Bonjour Peper.

    Merci encore pour tes récits. C’est un réel plaisir de te lire. 🙂

    Je vais réfléchir rapidement à un niveau défi. 😉

    Amicalement. Mastermind

    PS : tu me dois une punition, puisque le défi n’a pas été entièrement réalisé. Hihi !

  2. Bonsoir,

    Je pense faire le défi de Kokine demain, en l’adaptant un peu pour qu’il colle avec ma journée (je suis retournée en cours, difficile de s’éclipser toutes les heures). Je vous ferait part de mon expérience au plus vite =)
    Mastermind, je serais ravie d’avoir un nouveau défis de ta part, et n’hésite pas si tu as des idées/envies pour la punition 😉

  3. Bonjour Peper. 😉

    Encore merci d’animer le site avec tes récits (féminins) bien écrits et très excitants. Hâte de lire, d’ailleurs, ton récit du défi de ce jour…

    Bien sûr que j’ai des idées et des envies de défis et de punitions pour toi ! Quelle question ! 😉

    LE DÉFI : Pour ce défi, tu devras te rendre à la fac habillée sexy, jupe, dim-up (ou bas, ou sans s’il fait chaud, mais pas en collant) avec une culotte ou un string, munie d’une enveloppe ou d’un sac plastique, par exemple…

    Dès que tu pourras, que la fréquentation et la discrétion te le permettent, tu te rendras dans les toilettes des femmes (ou des hommes si tu le souhaites). Là, tu te caresseras sur ton string, jusqu’à la limite de l’orgasme, mais sans jouir, et jusqu’à ce qu’il soit bien trempé.

    Tu l’oteras, tu le glisseras dans le sac (ou l’enveloppe) dans lequel tu auras rajouté un mot sur papier qui dira :
    « Tu as trouvé mon string trempé, alors viens me défier sur defiserotiques.com !
    Signé Peper. »

    Tu cacheras « grossièrement » le sac (ou tu le laisseras bien en évidence dans les toilettes, si tu souhaites ardemment qu’il soit découvert), et, sexe à l’air, tu retourneras en cours.

    Pendant tout le reste des cours, tu devras :

    – Rester 1mn chrono les jambes bien écartées sous ton bureau et prendre une photo de ton entrejambe que tu posteras dans « les preuves »
    – Te caresser discrètement (tu peux mettre un pull ou une veste sur tes jambes) jusqu’à la limite de l’orgasme.
    РBien sucer tes doigts une fois les caresses termin̩es.

    Tu devras recommencer cette étape autant de fois que la situation le permet et que tu te sens excitée, avec un minimum de 2 fois durant ta journée de cours.

    Avant de quitter la fac, tu iras récupérer ton enveloppe et tu auras gagné le droit te faire jouir, ou pas…

    Si tu es trop excitée et que tu veux absolument jouir, tu pourras, mais sous condition :
    РDans les toilettes des femmes, verrou ouvert, t̻te sur la cuvette.
    – Dans les toilettes des hommes.
    РSur le chemin du retour, en ext̩rieur.

    Si tu ne respectes pas une de ces trois conditions, tu devras attendre le lendemain pour te faire jouir et tu le rajouteras à ton récit.

    Voilà, j’espère que ce défi va te plaire et que tu viendras très vite nous le raconter avec talent, comme à ton habitude, sans oublier la preuve… 😉

    La p’tite punition suivra bientôt, suivant ton avis et mon inspiration…

    Amicalement. Mastermind

  4. Bonsoir à vous, c’est l’heure de mon petit récit suite au défi de Kokine.

    Ca fait un moment que j’ai envie de m’y mettre, mais que chaque matin, au moment de m’habiller, j’ai la flemme de passer un string (et oui…). J’ai donc préparé mes vêtements hier soir, choisissant alors un string blanc et un pantalon plutôt serré qui met bien mes fesses en valeur. Bon, je ne vais pas mentir, vers 6h30 quand j’ai dû passer mes fringues et que j’ai senti les boutons de poches, métalliques, gelés, sur mes fesses, j’ai failli laisser tomber pour m’emmitoufler dans des vêtements bien chaud et pas sexy pour un sou, mais je me suis fait violence.
    Comme stipulé par Kokine, j’ai remonté le string au maximum jusqu’à ce qu’il me fende bien en deux. Mon pantalon moulant frottait à chaque pas contre mon intimité, et sentir cela, dans la rue, le métro, ou encore à la fac, c’est très perturbant. Monter et descendre les escaliers devient un moment plutôt agréable d’ailleurs.

    Ne pouvant pas m’éclipser toutes les heures, comme je vous l’ai dit hier, j’ai profité de chacune de mes pauses pour m’éclipser aux toilettes et me caresser. Le seul hic, c’est que 10 minutes de pause en moyenne, ce n’est pas énorme, sans compter que les toilettes de la fac, avec le bruit, le passage (les odeurs…) ce n’est pas vraiment l’endroit le plus sexy au monde, ni le plus stimulant. Je n’ai réussi à arriver à la limite de l’orgasme que 3 fois aujourd’hui, le reste du temps, je me contentais de mouiller mon string.
    J’ai été vraiment frustrée ce midi quand je me suis trouvée des toilettes plus calmes et lorsque j’avais plus de temps, j’aurais bien aimé aller plus loin, et devoir s’arrêter au bord de la jouissance m’a laissée sur ma faim.

    Au moment de rentrer chez moi, après un trajet en métro particulièrement long et pénible (7 enfant dans ma rame…), j’ai voulu tenter quelque chose. J’ai fait un peu de shopping sur le chemin du retour, m’arrêtant dans une petite boutique de fringues. J’ai choisi une robe assez courte et me suis installée dans une cabine d’essayage. J’ai retiré mes vêtements, soutien-gorge y compris, ne gardant que mon string me fendant en deux. J’ai enfilé la robe et suis sortie de la cabine pour me regarder dans le miroir dans le magasin. Il ne faisait pas chaud, on voyait clairement mes tétons pointer sous le tissu, et pour la première fois de la journée, je n’avais plus rien qui me frottait les fesses ou le sexe.

    Je suis retournée dans ma cabine, me suis rhabillée, excepté le soutien-gorge, puis suis ressortie de la boutique, veste ouverte et tétons pointés sous mon haut. Une fois de retour chez moi, j’ai de nouveau retiré mes vêtements et me suis placée, nue, dans l’encadrement de la porte de la chambre, donnant sur la pièce à vivre, toutes lumières allumées, face aux grandes fenêtres du salon (stores tirés, j’habite au rez-de-chaussée en plein centre ville).
    Pour la nième fois de la journée, j’ai commencé à me caresser. Je me suis fait quelques frayeurs en entendant la grille de mon immeuble puis la porte des voisins, mais j’ai joui très rapidement, conditionnée par toute ma journée je suppose.

    Merci beaucoup Kokine pour ce défi !
    N’hésitez pas à m’en proposer d’autre (sans oublier que je ne suis qu’une petite novice timide 🙂 )
    ♥

  5. Coucou Peper,

    Merci pour ce compte rendu délicieux comme toujours.
    Je vois que tu as meme commencé à prendre gout à l’exhibition 😉

    Tu peux compter sur moi pour te concocter de nouveaux défi, ne t’inquiète pas je sais que tu es novice mais tu progresse très vite 😉

    Bisous Kokine

  6. Bonjour à vous,
    Merci pour vos compliments, j’ai encore un petit récit pour vous =)

    Nous avons un peu remanié le défi avec Mastermind, passant de la fac au cinéma et modifiant deux trois points.
    Je suis donc allée au cinéma cet après-midi (Miss Peregrine et les enfants particuliers), et ai commencé par me trouver une cabine dans les toilettes des hommes pour commencer à me masturber. Je me suis arrêtée au bord de l’orgasme avant de retirer ma culotte, trempée, et de la glisser dans une enveloppe avec un petit mot proposant à la personne qui la trouverait, de venir me défier à une adresse mail crée pour l’occasion. J’ai glissé l’enveloppe entre le mur et le distributeur à papier toilette, la laissant en partie dépasser.
    J’ai ensuite quitté les toilettes, sans croiser personne, pour rentrer dans la salle de cinéma. J’ai déjà tenté de me promener en jupe, les fesses à l’air, mais jamais avec des bas. C’est très étrange de se sentir couverte et au chaud jusqu’aux cuisses, mais de sentir tout de même les petits courants d’air à l’étage au-dessus.

    Je suis arrivée un peu en avance dans la salle, j’ai eu l’occasion de bien choisir ma place, dos à l’entrée, sans rang derrière moi. La salle n’était pas remplie, mais cinq jeunes hommes se sont installés juste devant moi. J’ai paniqué un instant, me disant qu’au moment de garder les jambes écartées, jupe relevée, si l’un d’eux tournait la tête pour parler à son voisin, il aurait surement une bonne vue sur mon intimité, que je devrais être réellement discrète au moment de me masturber. J’ai douté, croisé les jambes, et attendu que les lumières s’éteignent avant de me détendre.

    Dès le début du générique, me sentant déjà très excitée, ayant passé toutes les bandes annonces à réfléchir à comment être discrète, où je pourrais me faire jouir une fois le film fini, j’ai directement écarté les jambes, remontant ma jupe jusqu’au dessus de la bande siliconée des bas.
    J’avais les yeux rivés sur les têtes devant moi, m’assurant qu’ils regardaient bien l’écran. J’ai déclenché le chrono de mon portable pour voir combien de temps je gardais les jambes écartées. Je n’ai pas fait plus de 2 minutes 30 pour cette première fois, trop stressée qu’un regard s’égare vers moi, et trop excitée pour attendre d’avantage.
    Mon foulard posé sur les genoux, un peu timide au départ, j’ai laissé mes doigts glisser jusqu’à mon sexe, surprise de voir que j’étais déjà trempée. Je me suis masturbée, oubliant vite que j’étais tout de même entourée. La semi-pénombre de la salle de cinéma simule parfaitement une sensation d’intimité, ce qui est d’autant plus perturbant quand ça se met à remuer dans un coin ou dans un autre. Je me suis arrêtée au bord de l’orgasme, frustrée. J’ai ensuite sucé mes doigts, j’ai trouvé ça assez drôle, ça allait plutôt bien avec le concert de grignotage du rang de devant.

    Je n’ai pas vraiment attendu avant de remettre ça, gardant les jambes écartées et la jupe relevée bien plus longtemps cette fois-ci (environ 5 minutes).
    Plus loin dans le film, j’ai remonté ma jupe jusqu’à découvrir mon sexe, écarté les jambes jusqu’à ce qu’elles soient chacune d’un côté de mon siège, et relancé le chrono. J’ai laissé mon esprit divaguer, ai pensé aux autres personnes présentes dans la salle avec moi, au fait que personne ne remarquait que j’étais en partie nue, imaginant ce qu’il pouvait se passer si le rang de devant se retournait, autant vous dire qu’une partie du film m’est passée bien au-dessus, mais que j’en ai profité pour faire bosser mon metteur en scène intérieur… 12 minutes. 12 minutes à sentir la petite brise de l’air conditionné me caresser les cuisses, le tissu un peu rêche du siège sur mes fesses…

    J’ai recommencé à me caresser, avec peut-être un peu trop de vigueur. Je me suis laissée emporter, sentant l’orgasme venir, je voulais juste tenter d’aller un peu plus loin que les deux fois précédente, de me pousser un peu pour ne m’arrêter qu’à l’extrême limite, pour être encore plus à fleur de peau la fois suivante et n’apprécier que d’avantage ma future jouissance en extérieur par exemple. Mais j’ai échoué. Je ne pensais pas partir si vite, mais j’ai visiblement un peu trop titillé mon clitoris. A l’exact moment où je pensais m’arrêter, j’ai senti l’orgasme venir. Orgasme d’ailleurs peu satisfaisant, il m’aurait fallu un peu plus d’insistance pour qu’il soit réellement complet, sans compter que le sentiment d’avoir échoué était plus fort que le plaisir que j’en ai retiré.
    C’est un peu honteuse que j’ai pour la troisième fois léché mes doigts jusqu’à ce qu’ils soient parfaitement propres et me suis interdit de me toucher à nouveau.

    Le film s’est terminé, j’ai quitté la salle. Je pouvais compter sur la météo pour finir de me refroidir, le fond de l’air était franchement frais, je n’avais toujours pas de sous-vêtements.
    J’ai eu un petit moment de panique en croisant une connaissance en sortant du cinéma. J’avais l’impression d’avoir de la mouille autour de la bouche et qu’il était écrit en lettres fluo sur mon front que j’étais fesses nues. J’ai écourté la conversation et suis rentrée chez moi.

    Mastermind, je suis désolée d’avoir échoué sur ce défi. Nous n’avions pas abordé ce qu’il se passerait si je jouissais dans la salle de cinéma, je te laisse me dire ce que tu en penses.

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