Défis et récits.

Salut à tous,

Je suis seule ce week end chez moi et j’aimerai renouer avec mon corps et mes envies. J’aime la contrainte et la douleur, la nouveauté et l’excitation, l’interdit et les possibles.

J’habite en montagne, un peu isolée mais pas trop.

Une bonne âme (inventive et joueuse) aurait elle des défis à me proposer ?

(J’aime aussi raconter ce que je fais. 😉 )

Défis et récits.
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29 thoughts on “Défis et récits.

  1. J’ai fait le plein d’idées et ai échangé avec plusieurs d’entre vous durant ces quelques jours.
    Je suis prête et je me lance ce soir avec un défi à base de dés, glaçons et bougies.
    Je vous raconterai tout ça;)

  2. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé écrire mes fantasmes, mes envies, mes orgasmes.
    Un site internet de défi ne peut que me satisfaire.
    J’ai déjà essayé à plusieurs reprises la soumission virtuelle mais je trouve tout le temps ça trop lent, trop timide, trop respectueux de certains codes établis. Moi, ce que je veux, c’est jouir vite, fort et avoir mal.
    Je ne suis pas tellement romantique.

    J’ai une vie très satisfaisante, merci, tout va bien. Mais quelquefois, j’ai envie de ce que je vais vivre ce week end : un grand n’importe quoi de sexe, d’alcool et de weed. (je n’aime pas réellement les faux semblants non plus).
    Bref, bienvenue dans mon week end soupape.

    A 20h00, je passerai sur mon corps le collier et les bracelets en cuirs qui me permettent de me projeter dans Elle. Il est 19h44.
    Je me lancerai ensuite dans le premier défi que j’ai choisi de relever (à soumise, soumise et demie). Le voici (merci Watin, il est juste génial pour moi) :

    Pour ce défi, il te faudra un dé, des pinces à linge, un vibro, un plug et des glaçons et une bougie.
    Lance un dé, si tu réalise un chiffre pair, tu devras réaliser l’intégralité du défi totalement nue. Sinon tu auras le droit de mettre un t-shirt ample seulement.
    Voilà le défi commence. Tu placeras ton oeuf vibrant et ton plug. Tu vaqueras à tes occupations habituelles mais toutes les 5 minutes, tu devras lancer un dé.
    Le dé te donnera les ordres suivant :
    Si tu fais 1, tu devras te mettre une pince sur les seins.
    Si tu fais 2, tu devras t’insérer un glaçon dans le vagin.
    Si tu fais 3, tu devras changer le niveau de l’oeuf.
    Si tu fais 4, tu devras te mettre une pince sur chaque lèvres.
    Si tu fais 5, tu devras sortir de chez toi, dans ton jardin, le traverser et rentrer (des chaussures sont interdites).
    Si tu fais 6, tu devras faire tomber une goutte de cire sur chacun de tes tétons.
    Tu feras cela pendant 1h.
    Tu as interdiction de jouir pendant cette heure. Si tu n’as pas joui, tu peux le faire immédiatement après la fin du défi mais tu devras être a genoux cuisses écartées faces à une fenêtre donnant sur la rue. Si tu as joui, tu devras rester nue jusqu’au coucher et tu ne pourras te toucher et jouir que demain dans les mêmes conditions (a genou jambes essartées) mais cette fois soit dans le fond du jardin soit sur le pas de ta porte.

    19h47 ; je file chercher mes équipements divers et variés.
    A dans un peu plus d’une heure…

  3. Je lance une première fois le dé pour déterminer ma tenue : j’ai le droit à un t shirt. Chouette. Il fait froid chez moi.
    Deuxième lancé. Je fais 2 : un glaçon. Ok, c’est un de mes trucs préférés…J’y vais doucement pour commencer. Je choisis le plus petit.
    5 minutes c’est rapide en fait.
    5 : je dois sortir. J’aime pas ça. Du tout. Je sors, je triche : je mets des chaussures. Le glaçon n’est plus glaçon, il coule. J’ai un peu honte. Je marche un peu et rerentre rapidement. Je suis très isolée : j’ai peur dehors.
    5, de nouveau : je sors, pieds nus. J’espère faire un autre chiffre. Ça ne me plait pas. J’entends, au loin, les voisins.
    1 ; une pince sur les seins. Ah, j’adore : pour diverses raisons, je n’avais pas fait ça depuis plusieurs mois. Ca pince. Fort. Et je réalise qu’a aucun moment, il n’est noté que je pourrais les enlever. Ah. Mes pinces (toutes neuves) ont une petite clochette. Je ne sais pas si c’est drole ou ridicule.
    6 : la cire. J’y vais, mais j’ai peur. Très peur. Une goutte. Je choisis le sein sans pince. Chacun sa douleur. OK, c’est fait. Il y a eu plusieurs gouttes et ce fut moins douloureux que je ne le pensais. Voire même légèrement excitant. Je suis trempée. Je serre mes jambes l’une contre l’autre et j’ai TRES envie de jouir. La pince à gauche me fait mal.

  4. 1 ; directement, cette pince sur le sein me fait mal. J’ai clairement perdu l’habitude, c’est difficile. Je poste en temps réel sur le forum parce que ca m’excite et que àa m’aidera à tenir. Enfin, j’espère.

    IL est 20h30 et je me rends compte que je n’ai pas de pince à linge. Je dois sortir en chercher…Je passe mon kimono et sort. La lumière automatique se déclenche. Je sais que si une voiture passe à ce moment là, les occupants verront tout. Je cours. Les clochettes font leur bruit de clochettes. Je suis plus que génée. Je récupère 5 pinces à linge et rentre. Je sens bien mon (petit) plug, je n’ai pas l’habitude.

    Je fais 2 : un glaçon. Facile. Ouf. Encore presque 30 minutes. Je me concentre et me redresse. Le t shirt appuie sur les pinces.

    Encore 2. Je suis trempée d’eau et d’autre chose ! Plus tôt dans la soirée, j’ai préparé des glaçons au gingembre. J’ose espérer qu’ils seront suffisamment pris pour mon prochain 2.

    4 : une pince sur la lèvre. J’exécute. Je choisis une pince souple, c’est facile mais gênant.
    Ok, je retire ce que j’ai dit : je ne peux plus me déplacer sans écarter les jambes, c’est très humiliant. Je comprends maintenant un peu mieux. Une fois assise, j’arrive presque à me faire jouir avec cette pince…Hum. Mais gare. Je garde les jambes écartées .

    2 ; encore un glaçon. Mes amis spéciaux au gingembre ne sont pas prêt. Tant pis : je frotte celui que je m’introduis sur les résidus de ma racine. OH. OH. Ca brule. Putain. Ca fait froid et chaud. C’est divin. Je m’étire en arrière sur mon tabouret. Mon collier me serre, me rappelle ce que je fais. Hum.

    6 : j’y vais allègrement avec la cire. Meme pas mal (si) (et je ne vous parle pas des pinces) J’ai BESOIN de jouir, c’est terrible.

    4 ; je rajoute des pinces. Et me rends compte que je n’avais pas vraiment suivi la consigne…Bref : je rattrape mon retard, 3 pinces en plus. Je ferme les yeux et me concentre jusqu’à la prochaine sonnerie. La derniere.

    1 : une pince sur le sein. Easy. Je suis très excitée, j’adore. Je ferme les yeux et me concentre sur mes sentations. Je suis la douleur et le plaisir. Hum.

    Mon vibreur indique la fin des 5 minutes. C’était formidable : j’ai passé 5 minutes, à genoux, cuisses écartées en face de mon poele. J’ai adoré cette expérience. A tel point que je recommence dans une heure. Serez vous là ?

    Je me déséquipe : les pinces sur mes seins sont recouvertes de cire. J’ai mal en les enlevant. J’aimerai des mains amies pour les malaxer et m’oter la douleur. J’enlève tout et je ne jouis pas. Peut être toute à l’heure ? J’ai hate. Merci Watin.

  5. A 22h, j’irai chercher le plug de taille supérieure. Bon, allez à 21h55, plutôt. Bon, j’avoue je n’aime pas le truc d’aller dehors. Alors, je le remplace par 15 (?) coups de fouet. Il est tout neuf, je n’ai jamais testé. 15 est ce trop ? Au premier 5, je mettrai mon baillon boule, il me fait saliver, j’adore.

    Je suis vetue de mon kimono. Vetue est un grand mot, il est échancré de partout. Je commence dans 5 minutes et je suis déjà au bord de l’orgasme. Ca va être compliqué je pense.
    10h00. Je suis en place. J’ai déjà mal au cul.

    5 ; ok ; le sort est coquin. Baillon boule direct. Pour une première fois, une heure ? Vraiment ?
    6 : cire téton droit. Pas qu’une goutte. J’ai mal. Je gémis.
    3 ; génial. Je me languissais de toi, mon œuf. On y va tout doux.
    Je bave comme jamais. Génial. L’un de vous m’avait proposé de baver dans un récipient. Je m’exécute sauf lorsque je suis en train de taper ou vaquer à mes occupations. Alors, la bave coule le long de mon menton, sur mes seins, mon ventre. C’est divin. Je m’en tartine le sein. Je ne connaissais pas cette sensation, j’adore.
    1 ; salut les clochettes, j’ai appris à vous aimer. Et ce malgré la taille du truc que j’ai dans le cul.
    2 : et hop un glaçon au gingembre. J’attends. Vous saviez qu’on pouvait baver autant, vous ?
    Tres déçue par le gingembre pour l’instant.
    2 : j’en mets 3. Je m’en veux instantanément. J’ai froid et l’eau coule sur mes cuisses, je me sens sale. Chienne. Je me tortille à la recherche du plaisir.
    1 : des pinces. Fortes. Parce que je veux que la douleur me calme. Je suis trempée. C’est bon. Encore 30 minutes. Impossible. Comment faire ?
    5 : voilà mes 15 coups de fouets. Première fois pour moi. C’est douloureux et sublime. Je veux que quelqu’un fasse ça pour moi : me fouetter.
    Vibration de l’œuf. J’en peux plus. J’en peux plus. Je veux jouir. Je bave, je tourne mes hanches. Pinces sur les lèvres. Je tape, je tape mon récit pour ne pas jouir. Encore 1 minutes. Et des litres de bave. Et je supplie pour qu’on me baise. Méchamment. Comme j’ai envie. Je me rends parfaitement compte de mon état, je le trouve complètement fou. Je m’assois sur mon plug, je l’enfonce. Et je m’écarte. La cire. La cire, la cire. Brûlure exquise. Mes seins plein de coulures blanches, je comprends. Encore des pinces sur les seins. J’ai tres mal. Rarement eu aussi mal et autant pris mon pied en virtuel. Oh putain.
    Plus qu’une fois et je vais jouir. Sans spectateur j’espère. Face à ma vitre.

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