Décoration intérieure

Tu vas placer un sex-toy – ou un objet susceptible d’en faire office – dans chacune des pièces de ton appartement. Tu te déshabilleras ensuite complètement et tu introduiras dans ton orifice préféré, pourvu que ce soit le sexe ou l’anus, l’objet qui se trouve dans la pièce où tu te tiens. A partir de ce moment tu devras, chaque fois que tu changes de pièce, ôter l’objet que tu portes pour le remplacer par celui qui t’attend dans la pièce où tu viens d’entrer, même si ce n’est que pour quelques secondes. A chaque fois que tu laisseras tomber un objet, tu le remettras en place aussitôt et tu infligeras six coups d’élastique à chacun de tes tétons.

Décoration intérieure
4.1 (82.86%) 7 votes
, , ,

4 thoughts on “Décoration intérieure

  1. Bonjour,
    J’ai réalisé ce défi hier soir et revient vers vous pour un petit compte rendu.
    Que de délices que cette petite polissonnerie solitaire !

    J’ai commencé dans ma chambre, me dévêtant lentement, appréciant la caresse du T-shirt sur mes seins, celle de l’air moite sur mon sexe à présent dénudé. Il faut dire qu’après quelques minutes sur ce site j’étais dans un état d’excitation avancée.
    Pour ajouter du piment j’ai noué mes mains dans le dos avec un foulard dont les extrémités effleuraient l’arrière de mes cuisses. Ainsi il m’était impossible d’accéder à mon clitoris où à mes lèvres. Il me fallu de plus m’agenouiller à chaque fois pour retirer et échanger le gode. Ce qui vous vous en doutez provoqua maintes contorsions.
    Après avoir enfoncé un tournevis dans mon vagin je me relevait. Mes muscles intimes se contractaient autour de l’objet provoquant d’exquises caresses, presque des spasmes et je ne résistais pas à la tentation de faire plusieurs fois le tour de ma chambre, le corps tendu vers ce plaisir nouveau.
    Je me rendis ensuite dans la chambre de ma soeur où je m’agenouillais et échangeais le tournevis pour trois brosses à dent. Au passage, je caressais mon clito, mes lèvres avec ce sextoy improvisé. Mes mains s’attardèrent dans mon sillon interfessier, titillant ma rosette, jouant avec cet anneau de chair fripon sans jamais le pénétrer. En me relevant je craignis un instant qu’une brosse à dent ne s’échappe. Pour ma frustration – ou la sauvegarde de mes tétons, c’est selon – il n’en fut rien et je pus me rendre à la buanderie où je me pénétrais d’une brosse au manche très épais. Délicieux sentiment de plénitude.
    Je n’ai pu poursuivre cette promenade que dans les pièces de l’étage car ma soeur et une amie occupaient le rez-de-chaussée. Il faut admettre que le bruit de leur conversations accompagnant ma flânerie ne fit qu’ajouter à mon excitation.

    Alors que je montais vers l’orgasme, agenouillée sur le carrelage je fus appelée en bas et du me rhabiller en catastrophe . Je descendis, la culotte déjà trempée de mouille, les mamelons douloureusement sensible, frustrée mais tellement heureuse.

  2. Wouaou, une exécution et un récit très excitants, bravo : )
    Me voici tout émoustillé moi aussi.

Laisser un commentaire